Membres prosthétiques vs. biologiques : Différences physiologiques et biomécaniques lors de la course

Membres prosthétiques vs. biologiques : Différences physiologiques et biomécaniques lors de la course

Article rédigé par Aneliya Manolova, le 11.09.2012

Résumé : La participation aux Jeux Olympiques 2012 d'un athlète amputé des deux jambes a soulevé la question de savoir si les prothèses permettent une course similaire à celle des athlètes valides, physiologiquement et biomécaniquement...

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Bonne lecture !

Gracié, je ne savais pas qu'ils avaient déjà fait une étude sur Oscar P.

Très intéressant.

En fait, deux études ont déjà été réalisées. Elles sont toutes les deux parues en 2009.

La première est celle de Bruggeman et al. (commandité par l'IAAF) et qui a conclue à un avantage pour Pistorius... La seconde, résumée ici est celle qui a servie à plaider la cause de Pistorius devant le Tribunal Arbitral du Sport...

Dans les deux cas, les décisions prises ne l'ont pas été pour les bonnes raisons. L'IAAF avait semble-t-il l'intention de forcément contrer O. Pistorius, et le TAS voulait absolument faire le contraire. Dans le premier cas, ils ont extrapolé des conclusions abusives à partir des quelques résultats obtenus et dans le second cas, ils n'ont étrangement retenu que les arguments de similarité et pas les différences biomécaniques...

Cependant, les auteurs de la même étude se sont ensuite divisés en deux camps "avantage / désavantage"...

Voilà pour la petite histoire