La Force

Qu'est-ce que la force?

Rien, peut-être, n'est plus universel que la force musculaire pour l'homme. c'est elle qui est à l'origine de la notion de force physique. Et non l'inverse. Comme l'écrit Emile BOREL, dans Evolution de la mécanique, "c'est éviemment la force musculaire de l'homme et des animaux qui est a l'origine de la notion de force; c'est à cette force musculaire que se rapportent les mots qui, dans les langues les plus anciennes, correspondent au mot "force" et à ses dérivés. Si duex hommes tiennent dans leurs mains les deux extrémités d'une corde et tirent chacun de son coté, c'est le plus fort qui l'emporte (...) De nombreuses expériences suggèrent l'idée plus ou moins vague de l'addition des forces: si deux hommes tirent sur la même corde, ils l'emportent aisément sur un seul homme qui tire seul à l'autre extrémité (...) En l'absence de toute force, le mouvement d'un corps continue (...) Cette concordance (des calculs et des expériences) a certainement beaucoup contribué à créer chez les mécaniciens (spécialistes des problèmes de mécanique rationnelle) la croyance en la téalité des forces, bien que ce soient, à certain égards, de pures abstraction dont on observe seulement les effet."

Les sportifs n'ignorent plus, aujourd'hui, qu'un athlète s'améliore dans son sport, quel qu'il soit, s'il pratique périodiquement un entrainement de force. lorsque le Pr Raymond THOMAS, universitaire spécialiste du sport, écrivait: "Les recherches réalisées sur la motricité athlètique démontrent que el noyau central de la capacité physique générale est constitué par la force explosive", il ne faisait que formuler une évidence. Malheureusement, il aura fallu attendre les années 80 pour que la France, dont les athlètes étaient confrontés à des échecs sportif répétés, révise sa position vis-à-vis de la musculation sportive et du renforcement musculaire, et qu'elle abandonne ses superstitions. grace à cette prise de conscience, et sous l'impulsion de personnalités d'exeption comme gilles COMETTI, Jean TEXIER ou Henri VANDEWALLE, les sports ont pu prendre un nouvel essor. c'est d'ailleurs encore plus au courage de ces personnalités qu'a leur compétence que l'entrainement doit son évolution. car, bien qu'ils fussent avertis que, dans la vie publique, on ne sort jamais de l'ambiguïté qu'a ses dépens, ils ont osé affirlmer quand d'autres, plus "politiques", étaient surtout soucieux de ménager les superstitions commines et les susceptibilités personnelles. Mais le retard accumulé est encore si considérable qu'Eric LAHMY, le fameux reporter de l'Equipe Magasine, peut déclarer: "Si les Francais avaient introduit la musculation dans la préparation aux sport dès les années 50-60, l'écart n'aurait pas été aussi grand entre les Américain et nous?"

Un athlète n'est jamais trop fort. et c'est donc sans surprise qu'on assiste à l'infiltration des éducatifs d'haltérophilie dans la préparation de tous les sports explosifs névessitant d'importants transferts de force: rugby, football, basket, etc. Quant au mouvements de powerlifting, ils se retrouvent partout, et ce n'est qu'à moitié surprenant de constater qu'à force d'entrainement, les sprinters au "kilomètre" (cyclistes) ont quelquefois élevé leurs suqats au-dessus de ceux de leurs homologues powerlifters. Or les sprinters francais sont parmi les plus rapides du monde. Donc la force ne ralentit pas les mouvement. ce qu'il fallait démontrer. Ce quiralentit les mouvement, c'est uen masse musculaire encombrante, un poids de corps inassimilé et la perte de mobilité articulaire consécutive à la répétition de mouvement partiels. on a prouvé qu'au niveau international, haltérophiles et powerlifters disposent, jusqu'à la catégorie lourde, d'une mobilité articulaire supérieure à celle de la moyenne des sportifs, que leur masse musculaire est parfaitement proportionnée, et qu'elle n'invalide aucunement les mouvements. La preuve, c'est l'exécution du geste haltérophile qui nous la donne. Il suffit d'observer comment l'athlète, ramassé sur lui-même, passe en six secondes à l'extension complète du corps avec, à bout de bras, plusieur centaines de livres. Quant aus plus musclés -les gymnastes- ce sont de loin, et l'on s'en doute, les plus souple de tous les sportifs!

Le succès, de nos jours, des compétitions de "Strongman" est dû, précisémenet, au démenti que le réel inflige en direct aux vieilles superstitions: Marius PUDZIANOVSKI, trois fois l'homme le plus fort du monde, présente un physique dur et très musclé, ce qui ne l'empeche nullement de se montrer rapide, agile et meme endurant. les épreuves d'homme forts sont, en effet, des epreuves de force-endurance. Elles sont téalisées avec des charges records, mais elles exigent des efforts semblables à ceux que fournirait un coureur de demi-fond effectuant d'affilée plusieur 400 mètres. PUDZIANOVSKI est d'ailleurs capable de courir les 100 mètres en moin de 11 secondes. Se souvient-on que Mike TYSON avait prouvé dès les années 80, qu'on peut etre à la fois le plus musclé et le plus rapide sur un ring? Se souvient-on que l'haltérophile soviétique David RIGERT, recordman du monde mi-lourd dans les années 70, courait le 100 mètres en 10 secondes? Se souvient-on que le colossal ALEXEIEV, détenteur de 80 records du monde d'haltérophilie en superlourds, le courait en 11.5 secondes malgré ses 145 kilos? Aujourd'huin c'est Garry FRANK, 175 kilos, 1 m 90, ancien footballer américain et détenteur du plus gros total powerlifting de l'histoire (1197.5 kilos), qui s'amuse à sprinter les fameux "40 yards" en 4.7 secondes. Apparement, le fait qu'il fasse 467.5 au squat, 335 kilos au dévelopé couché, et 422.5 kilos au soulevé de terre ne l'empeche pas de courir.

Tout cela ne fait que confirmer ce que les physiologistes du sport soutiennent depuis toujours: si l'entrainement de vitesse ne rend pas plus fort, l'entrainement de force, développant l'innervation des fibres rapides, rend plus explosif. Toutefois, il s'agit d'être prudent dès que les sports font prévaloir la règle des catégories de poids. c'est alors la force relative (au poid de corps) qui doit être visée. On sait, depuis FUKUNAGA, que les entrainement de force s'étendant sur moin de 5 semaines n'entrainent que des adaptations nerveuses, et ne font pas grossir les muscles. On sait également que l'augmentation de la force en simples, doublés et triplés, est due à l'amélioration de la qualité de l'inervation, l'exercice bref et de très forte intensité agissant sur la coordination intramusculaire sans entrainer d'hypertrophie.

C'est pourquoi les entraineurs actuels conseillent des entrainement de 4 semaines et des séries très courtes (moins de 5 répétitions) aux athlètes désireux d'augmenter leur force et leur vitesse sans avoir à s'encombrer d'une masse musculaire superflue. Partout, c'est le succès des "éducatifs" d'haltérophilie, mouvements partiels empruntés au geste haltérophile global, très utilisés en préparation sportive. Pendant 50 ans, on a admiré les éducatifs en se moquant? On les regardait comme une vieillerie tombée en désuétude. Il a suffi que les Américains redécouvrent leur utilité et les remettent à l'honneur; tout le monde s'est mis à les pratiquer du jour au lendemain. pourtant, ces éducatifs, qui répondaient à une exigence définie par le manuel de l'ancienne école de Joinville, étaient d'abord destinés aux haltérophiles. Ils avaient pour object "de décomposer un acte complexe en éléments simples, dont l'exécution séparée d'abord, combinée ensuite, amènerait progressivement à l'execution difficile de l'acte total." (Manuel de Joinville)

Mais l'haltérophilie n'est pas la seule discipline de force à laquelle on emprunte quotidiennement, loin s'en faut. La force athlétique est partout. A l'exclusion du développé couché dont l'intérêt athlétique est nul pour la majorité des disciplines, la force athlétique inspire un grand nombre de préparations. Ce sport aussi aura dù nous revenir après un long détour par l'étranger. Et pourtant, il est si occidental que COLUMBU pouvait écrire, en 1979 encore, "qu'il [était] très populaire en Europe, bien qu'il [commençât] à peine à être reconnu aux Etats-Unis." Les bon vieux soulevés de terre jambes tendues deviennent "roumains" pour l'occasion, le stato-dynamique qu'on a toujours connu français devient "bulgare". v'est l'exotisme. Mais un exotisme utile. Seul le squat reste squat, n'ayant jamais cessé d'être pratiqué. La force est donc au centre de touts les préocupations. D'après Henri VANDEWALLE, responsable du département "Recherche" de L'INSEP, elle le serait "même dans les sports dont les qualités de force ne semblent pas déterminantes a priori."

Enfin, la force, mythique, efficace dans tout les sports, utlile dans toutes les circonstances de la vie, interesse aussi beaucoup pour elle-même. Elle exalte l'imagination depuis toujours: aucun sujet n'a traversé 43 siécles de luttérature -de Gilgamesh à Roger IKOR- avec autant de facilité. Aucun sujet n'est passé, plus naturellement, des caractères cunéiformes enfoncés dans l'argile aux disques compacts, supports informatiques à déchiffrage binaire. Il y a 43 siècles, la population d'Uruk appointait ses conteurs pour qu'ils déclament les aventures de Gilgamesh, "l'Homme Fort". La nuit du Jour de l'An 2005, 6 millions d'anglais regardaient sur la BBC la retransmission du "World's Strongest Man". Rien n'a changé.

Le sentiment de la Force est la chose du monde la mieux partagée, qu'on pense en être bien ou mal pourvu. Mais qu'est-ce donc que la force? Si personne ne vous le demande, vous le savez. Mais si on vous le demande et que vous vouliez l'exprimer, vous ne le savez plus. Examinons la question de plsu près; les certitudes s'évanouissent. La force n'est pas la puissance. La force n'est pas la résistance. mais puissance et résistance découlent de al force, et, par elles, la force s'accroit.


Tiré du livre de E. LEGEARD (Force), Introduction

Pour avancer dans le training de la force, voici des documents mis à dispo par JODU (Ouais, encore!!! bibliothécaire je vous dis )

Présentation synthétique de la méthode Pletnev
http://www.gymsante.eu/compresse/P_S/pletnev_01.pdf

Présentation de l'entraînement de la force/vitesse dans un but de préparation physique (l'auteur est préparateur physique), mais largement utilisable dans l'entraînement de force classique
http://www.gymsante.eu/compresse/P_S/physio_force_01.pdf
http://www.gymsante.eu/compresse/P_S/physio_force_02.pdf (même chose grosso modo, mais sorti d'un PPT, donc beaucoup plus complet et agréable à lire)

merci!

Tiens, un petit texte fait ce jour

Citation :

On parle beaucoup de force lorsque l'on fait du sport et à plus forte raison (sans jeu de mots ) pour les pratiquants de la musculation.

La force est la capacité d'un muscle à résister à la déformation suite à l'application d'une charge (poids).

Tout le reste n'est que démonstration spécifique de force.
Voilà, c'est tout.









Na, je plaisante

La capacité de non déformation d'un muscle provient ;
- des éléments non contractiles (raideur des tendons, des proteines structurelles, etc.)
- la capacité des têtes de myosines à pivoter (ou au moins à ne pas décrocher sous l'action d'une charge inverse au mouvement de contraction).

De là, il apparaît que plus le muscle sera gros, plus il aura une force importante.

Maintenant la démonstration de force

Pour utiliser la force du muscle, il est nécessaire d'adresser une impulsion électrique via les nerfs. C'est de là que tout démarre pour faire du sport:
- Vous amenez la taille du muscle à la taille souhaitée (hypertrophie)
- Vous renforcez les éléments non contractiles
- Et enfin vous apprenez à contracter votre muscle.

Amener la taille du muscle, c'est simple: il suffit de le faire travailler donc de l'abimer et si l'alimentation et la récupération est correcte, il grossira. La difficulté viendra avec l'expérience, lorsqu'il faudra de plus en plus de stress pour lui permettre de se casser suffisament. Là, différentes techniques existent, je laisse le soin aux spécialistes de répondre aux questions.

Amener les éléments non contractiles à se renforcer, c'est également très simple: en cassant le muscle, vous abimez également ces parties et elles se renforcent. Des techniques plus rapides sont également utilisables, telles que l'excentrique pur (sur une charge supérieure à 100% du 1RM), la pliométrie, etc.

Orienter l'exploitation de la force du muscle, c'est un peu plus compliqué, car nous entrons dans un choix quasi illimité. Exploiter un muscle c'est choisir un ou plusieurs mouvements que l'on apprend à exécuter et à appliquer soit plus de vitesse, soit plus de force de manière à atteindre un objectif. Tous ce qui sera décidé tournera autour de 2 notions:
- Le métabolisme (énergétique)
- Le système nerveux.

Le métabolisme

Il doit être développé de manière à permettre à l'athlète non seulement de tenir le temps de démonstration de force (par exemple un 100m ou une montée en escalade ou une/plusieurs répétitions de squat) mais également pour tenir les entraînements qui sont souvent plus épuisants que la démonstration elle-même.

Pour cela, on définie les différents % de chaque filière nécessaire à l'application de la force et on les travaille pour les amener au niveau (on parle alors de puissance énergétique).
Durant l'entraînement, on travaillera sous état de fatigue (plusieurs séries dans une séance ou plusieurs séances avec repos partiel) pour augmenter la capacité de chaque filière (ici selon les besoins de l'entraînement).

C'est un peu caricatural, mais l'idée y est.

Le système nerveux

Lorsque le métabolisme est ok, on peut attaquer l'apprentissage spécifique (on aura commencé avant, mais sans rechercher un développement précis pour ne pas exploser par manque d'énergie). Nous parlons d'un athlète légume bien sur: chaque personne est apte normalement à appliquer une force aussi faible soit-elle sur un mouvement. Heureusement sinon pour développer le métabolisme, bonjour la difficulté .

Avant d'aller plus loin, il faut comprendre qu'un muscle est ce que nous l'utilisons. C'est-à-dire que l'innervation et le type d'influx (intensité, fréquence, répétitions, etc.) induit un usage musculaire. Par exemple, vous innervez un muscle très puissant et rapide avec un nerf cardiaque (faible intensité, fréquence lente et répétitions illimitées) et le muscle va devenir aussi endurant que les fibres musculaires du coeur (expérience réellement effectuée).

Ainsi, nous avons tous une répartition fibrillaire différente dans chaque muscle (plus de fibres rapides, plus de lentes, etc.) mais l'entraînement peut modifier les capacités d'utilisations de ces fibres. Je n'irai pas plus loin dans l'explication, vous pouvez allez ici pour approfondir: http://www.gymsante.eu/regles/limites.html ).

Maintenant, c'est à nous de travailler pour développer un type de démonstration de force.
Celle-ci, indépendament du geste sportif, va pouvoir avoir plusieurs caractéristiques différentes (et potentiellement emmélées):
- endurante (grand nombre de répétition à faible usage de force)
- rapide (grande vitesse à usage moyen de force)
- puissance (équilibre entre vitesse et usage de force)
- force (aucune vitesse, la charge la plus importante est l'objectif. La charge ultime étant la celle que l'on ne peut déplacer, uniquement la maintenir = isométrie totale ou Static)

Ici, une notion est importante: l'endurance. Il ne faut pas confondre l'endurance (faible charge et longue application) avec l'endurance de force où l'on cherche à augmenter le nombre de répétition du geste avec une même force (au dessus de 85% du 1RM).

L'amélioration de la démonstration de force

Cette amélioration passe également par le système nerveux et ponctuellement par des qualités à développer propre au muscle (énergie élastique, raideur musculaire par exemple);
En effet, le système nerveux n'est pas qu'une impulsion qui provoque une contraction. C'est également des systèmes de protections de l'organisme qu'il convient de maîtriser.

Par exemple, quand un muscle s'allonge, le réflexe myotatique contracte automatiquement ce dernier. il est impossible de maîtriser cela volontairement. Ainsi, en travaillant les triceps, les biceps vont naturellement s'opposer à ce mouvement. Heureusement, car sans contraction de protection, 1 seule contraction du triceps impliquerait l'explosion de l'articulation du coude.
Ainsi, pour réduire cette résistance à l'étirement, nous allons apprendre au cerveau que pour un mouvement donné, il n'y a pas de risque avec une charge X et une vitesse Y. Petit à petit la résistance diminue et le triceps, sans modification interne, démontrera plus de force (et plus longtemps puisque moins de consommation d'énergie). C'est la coordination extra-musculaire.

Dans la coordination extra-musculaire, nous devons également apprendre la synergie entre les muscles moteurs d'un mouvement.

De même, pour améliorer une contraction (vitesse, économie d'énergie), nous devons apprendre au nerf à ne pas contracter le muscle n'importe comment, mais à bien synchroniser les différentes fibres musculaires mais également à mieux localiser géographiquement les fibres qui travailleront. Il s'agit de la coordination intra-musculaire

Lorsque tout ceci est bien développé, nous pouvons dire que tel athlète est plus puissance, plus rapide ou plus fort qu'un autre pour le geste précisé.

Après, certains mouvements sont exploitables pour d'autres gestes. C'est l'intérêt de l'entraînement, réutiliser un apprentissage pour aller encore plus loin soit dans la complexité du déplacement soit dans un autre déplacement. en effet, le cerveau fera des recoupements à chaque moment d'un nouveau geste qui permettra de réutiliser les acquis. Le nouvel apprentissage n'en sera que plus rapide.

Tout ceci est le rôle de la préparation physique: amener le système neuro-musculaire d'un athlète au niveau souhaité. charge ensuite à l'entraîneur de l'exploiter au mieux. pour aller plus loin: http://www.gymsante.eu/expertise/vitesse.html et http://www.gymsante.eu/expertise/intensite.html

La musculation

La musculation, avec ce qui vient d'être dit, est ainsi la base de la préparation physique afin de développer la force de l'athlète et de lui permettre d'optimiser son utilisation.

Au sein de la musculation, nous retrouvons grosso modo 4 types de pratiques:
- l'haltérophilie
- la force Athlétique (sous ses différentes formes, les 3 mouvements peuvent être remplacés par d'autres)
- le Bodybuilding.
- Le Fitness

L'Haltérophilie
Il s'agit d'une spécialisation de l'application de la force.
L'athlète, en termes de préparation physique, travaillera à améliorer son métabolisme, sa masse musculaire, la vitesse d'utilisation de la force. Son entraînement spécifique lui permettra d'augmenter sa puissance de démonstration de force plutôt dans le bas de la puissance (plus proche de la notion de vitesse).

La force athlétique
Il s'agit également d'une spécialisation de l'application de la force.
L'athlète, en termes de préparation physique, travaillera à améliorer son métabolisme, sa masse musculaire, sa puissance et la vitesse d'utilisation de la force. Son entraînement spécifique lui permettra d'augmenter sa démonstration de force sans notion de vitesse ou de puissance.

Le bodybuilding
Il s'agit aussi d'une spécialisation de l'application de la force.
L'athlète, en termes de préparation physique, travaillera à améliorer son métabolisme et sa force. Son entraînement spécifique lui permettra d'augmenter sa puissance plutôt dans la portion haute de cette qualité.

Le Fitness
Je l'assimile aux cours collectifs mais avec notion de compétition type marathon du step.
Il s'agit aussi d'une spécialisation de l'application de la force.
L'athlète, en termes de préparation physique, travaillera à améliorer son métabolisme. Son entraînement spécifique lui permettra d'augmenter son endurance de force.

Bien évidemment, ces 4 définitions (et tout ce qui précède) demandent à être développées et précisées, il ne s'agit en aucun cas d'informations exhaustives et immuables. Notamment lorsque l'on parle par exemple pour la FA uniquement de métabolisme, masse musculaire, puissance et vitesse d'utilisation de la force; il manque tous les intermédiaires nécessaires pour justement améliorer ces 4 notions.

superbe Post mon ami