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 Psychologie de la performance de force

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MessageSujet: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 22:00

Caractéristiques psychologiques favorisant la performance de force

D'après l'étude des caractères de Jung, il existerait quatre couples de qualités, s'opposant terme à terme, pour définir l'attitude des individus:
-l'extraversion et l'introversion
-l'intuition et la sensation
-la pensée et le sentiment
-le jugement et la perception

L'extraversion caractérise les Actifs que motive la présence de l'obstacle et qui lui accordent une prépondérance sur le moi. En effet, un Actif est quelqu'un que stimule la présence de l'obstacle. Le contraire de l'Activité n'est pas l'inactivité ou la passiveté, formes que prend une simple dégénérescence de la volonté chez l'individu, mais la névrose. La névrose est l'expression d'une dérobade daguisée devant l'obstacle. Dans son impuissance à affronter le réel qui contrarie ses désirs, le névrosé se replie sur lui-même (introversion) et se saisit de tous les prétextes pour s'y maintenanir et justifier son inaction. L'introversion est donc la base des névroses. L'Actif au contraire, est extraverti. Son action est orientée vers le monde extérieur. Ni l'Actif ni le névrosé ne savent d'abord quoi désirer par eux-mêmes. Enfants, ils n'ont pas d'idée bien définie quant à la profession qu'ils voudront exercer plus tard ou au sport dans lequel ils désirent s'illustrer. Ces choix leurs seront discté par leur environnement ou par les circonstances.Les désirs des caractères passif inclinant à la névrose leur seront inspirés par l'imitation d'autrui. Principalement soucieux de se comparer aux autres, ils trouveront dans la "réussite" de leurs voisins de quoi alimenter leur jalousie naturelle et justifier leur vie de parasite. L'Actif, au contraire, ne se soucie guère de se situer; ce qui l'interesse, c'est le projet, la résistance à vaincre. Si on lui présente un objectif comme un défi, il se sent ausstôt motivé à l'ateindre. La perspective de s'affirmer dans les domaines où, précisément, on le déclare perdant d'avance donne à l'Actif uen raison suffisante de réussir. Ce qui motive l'Actif n'est pas l'imitation, mais la surcompensation. Définir l'obstacle revient, pour l'Actif, à désigner l'objectif. Tandis que el névrosé est replié sur soi et ressasse ses échec passés, l'Actif est ouvert au monde et trouve des solutions pour l'avenir. Tandis que el névrosé est soucieux de situer son moi par rapport aux autres, l'Actif a d'abord le souci de l'obstacle à surmonter. Les gens qui réussissent dans une profession ou un sport sont des actifs; le champion de powerlifting de fait pas exception.

On voit toutefois qu'on ne peut rendre l'activité efficace qu'en l'ordonnant à un objectif. Les recherche menées par J.J. TOBACYK, de l'université de Louisiane, ont permis de mettre Un fait en évidence: le degré de réussite sportive, ches les compétiteur de force athlétique, est non seulement conditionné par leur degré d'extraversion mais encore par leur degré de jugement. S'il est extraverti, l'individu fera primer l'objectif sur le subjectif, l'exterieur sur l'interieur, et s'il présente des qualités de jugement, il montrera une tendance innée à tout vouloir organiser et planifier à l'avance. A l'inverse, un individu "perceptif" n'aura pas le culte des principes. Il se voudra plus créatif, plus opportuniste et moins méthodique; il sera attentif à la situation telle qu'elle se présente, et à l'occasion qu'elle offre de faire quelque chose qu'on n'avait pas forcement prévu de faire. Dans un recueil d'articles consacrés à l'entrainement, Jean TEXIER -grand spécialisté du culturisme- fait l'entretien particulièrement révélateur qu'il eut avec Marc VOUILLOT -le grand spécialiste de la force athlétique- sur la façon d'aborder l'entrainement de force. Ce qui se dégage de cet entretien, ce sont les divergences de vues entre deux personnalités évidemment actives, mais dont l'une est "judicieuse" (VOUILLOT) tandis que l'autre est "perceptive" (TEXIER):

"-Jean TEXIER: [Comme] le niveau d'énergie est fluctuant, [il faut s'y] adapter et ne pas être trops rigide sur les pourcentages. Par exemple, tu arrive à la salle pour faire tes séries à 70% de ton maximum, et au bout de quelques séries, tu sent que tu pourrais tenter un maxis. Alors tu mets ton programme par terre et tu te fais plaisir!

-Marc VOUILLOT: Exclu! le maxi n'est jamais tenté en cours d'entrainement. le maxi ne se fait qu'en competition. Le gars, je le programme pour la compétition. " Guide pratique du bodybuilding (Vol. VII; P. 28).

Au premier coup d'oeil on voi que le sujet de la phrase de Jean TEXIER, c'est l'athléte (tu...), que le sentiment prime sur le programme (tu sent...), et que c'est la barre qui est "programmée". Ches VOUILLOT le maxi est le sujet de la phrase, l'athlète n'est que le complément d'agent; c'est l'athlète qui est programmé, non la barre! Les deux méthodes sont également valable pour prendre de la force; le seul inconvénient avec la première -qui est peut etre la plus productive- c'est qu'on ne sait jamais quel jour exactement on va être fort. la seconde est docn la seul valable en force athlétique.

Les powerlifteur à succès ont donc une approche bien à eux de l'entrainement, de la compétition, et de la façon de soulever uen barre. Grâce à leur extraversion, ils font primer l'objectif sur le subjectif, le Quoi sur le Moi. Leur raisonnement n'est pas narcissique, il est rationnel: la barre peut être soulevée si et seulement si l'on a été "programmé" pour la réussir. Cela supose donc une approche organisé, graduelle et compartimentée de l'entrainement. Un bon powerlifteur n'accorde que peu de place à l'instinct et ne laisse rien au hasard.
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 22:00

La motivation et les moyens de la renforcer

Le "Psyching-up"

Le "psyching-up" a pour objectif de jeter dans uen atmosphére de vive surexitation mentale et de porter à son comble la tension agressive. Dans cet état de surexitation, l'athléte extraverti resserre son attention sur l'enjeu de la compétition. La perspective de la résistance à vaoncre transforme alors le trac en volonté colère et donne à l'athléte un vrai regain de vigueur. Quand un homme a peur, la colère n'est aps bien loin; c'est le degré d'energie qui fait la différence. Mais cette énergie, bien souvent, doit venir du dehors. C'est pourquoi les technique extéroceptives, qui mettent l'accent sur les sensations fortes venu du millieu extérieur, sont privilégiées. IKAI et STEINHAUS ont constaté que, sous l'effet d'un stimulus extéroceptif ponctuel -un coup de feu ou le fameux "cri d'IKAI"-, la force augmentait considérablement. L'expérience du cri est très intéressante et ses résultats ont été confirmés un grand nombre de fois. pousser un cri de guerre pour s'etendre crier et soulever plus lourd transpose dans l'ordre du manifeste ce qui se passe au point de vue psychologique: l'introjection de la barre. On appelle "introjection" l'absortion et l'assimilation par le Moi d'un objet ou de valeurs qui se trouvaient d'abord à l'exterieur et faisaient pression sur lui. Une barre fait peur -on crie- la poitrine s'envahit d'une bouffée de colère -on soulève plus lourd. c'est le schéma (Action-Emotion-Stimulation-Réponse) découvert par W. JAMES et la psychologie expérimentale: je ne m'enfuis pas parce que j'ai peur; je commence par m'enfuir; la peur s'ensuit.


Les experience d'Ikai et Steinhaus

Je crie, j'enveloppe ma barre de ma colère et cette colère revien vers moi, m'investissant brutalement de sa force et emportant la barre dans le mouvement. C'est ce qui se passe dans le cas du "cri d'IKAI". Pourtant, d'après IKAI et STEINHAUS, parmi toutes les techniques mises en oeuvre (cri, coup de feu...), celle qui s'avère la plus productive est celle de l'hypnose. Ce sont les sujet sous hypnose qui ont exprimé le surcroit de force le plus remarquable (+ 26%). Ce constat et étonnant à plus d'un titre. En effet, l'hypnose dépossède un sujet de l'exercice de sa volonté propre pour le placer sous celle d'un magnétiseur. On peut donc se demander si en général la volonté, qui n'est aps seulement d'ordre psychologique, mais aussi d'ordre neurologique, n'est pas inhibée par uen espèce de rétrocontrôle d'origine nerveuse. telle est l'hypothèse d'IKAI et STEINHAUS, pour qui les contre-performances ordinaires dans le déploiment des force sont d'origine traumatique (souvenir de blessures) ou culturelle (milieu familial surprotégé). C'est en soustrayant l'individu au crecle vicieux où le jeu des blocages enferme sa volonté que la suggestion hypnotique serait en mesure de le pousser à exprimer sa force absolue.


L'entrainement imaginaire de Yue et Cole

Parce qu'ils sont extravertis de nature, les powerlifters à succès ont besoin d'interioriser leur attention sous l'effet d'un "psyching-up" qui les focalise sur la performance à réaliser. ils doivent donc s'entrainer à resserer leur attention sur une imagerie interne en pratiquant la visualisation de facon régulière. (Pré-) visualiser ne se révèle d'ailleurs efficace que dans les sports où le déroulement de l'action est "pré-visible" pacre qu'il est programmé à l'avance. Dans les sport d'equipe où l'athléte a recours à l'attention externe-large, il est bien evidement impossible de prévoir quoi que ce soit, puisqu'il faut s'adapter sur place à la configuration d'un jeu en constant évolution. En conséuqnece de quoi l'on peut soutenir que les seuls sports où la visualisation se révèle particulièrement productive se répartissent en deux catégories. ce sont, premièrement, les sports individuels où la qualité du geste sportif, n'admettant aucune variation, est jugée en fonction de sa conformité avec le mouvement imposé par lerèglement (haltérophilie, powerlifting). et ce sont, en second, les sports à programme comme le patinage artistique, où les enchainements sont planifiés longtemps à l'avance. Avec la prévoyance judicieuse qui le caractérise, le powerlifter n'a aucun mal à planifier son action, à la programmer à l'avance, et à structurer son entrainement sur une base périodique. Rien, chez lui, ne se fait au hasard ou sous le coup d'une inspiration soudaine. le powerlifter ne s'entraine pas à l'instinct au sens où le culturiste s'entraine à l'instinct. Et, lorsqu'il visualise, le powerlifter ne s'abandonne pas à la rêverie stérile. Sa représentation mentale du but à atteindre participe de la programmation et à la planification de l'entrainement. YUE et COLE ont montré qie l'entrainement exclusivement imaginé produisait un gain de force réel en l'espace de 4 semaines (+22% contre +30% pour le groupe réellement entrainé et 0% pour le groupe de contôle). Mais "la hausse de la force musculaire pendant la simulation mentale ne résulte pas de changement au niveau de l'exécution du systéme moteur. Il s'agirait plutot de changements neuronaux intervenant à des niveaux supérieurs comme la programmation et la planification de l'action. Activés, ces derniers libéreraient alors des signaux vers les niveaux plus périphérique (systéme neurovégétatif, controlant notamment les activités cardiaque et pulmonaire). "Visualiser uen action sportive nous mettrait donc en situation de la réussir physiquement puisque, selon DALLOWAY, celle-ci aurait alors "une plus grande probabilité de réalisation en situation réelle."
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 22:01

Le rétroaction biologique

L'analyse faite par Patricia CHAIROPOULOUS est celle qui prévaut actuellement dans les laboratoires de l'INSEP. Elle s'appuie sur le concept de "rétroaction biologique" (ou bio-feed-back) et part du principe que le sujet peut apprendre à reconnaitre certaines sensations de types intéroceptif ou proprioceptif. Les sensations intéroceptives renseignent sur les actions qui s'exercent à la surface intérieure de l'organisme (coeur, poumons, glandes...), et les sensations proprioceptives émanent des fifférents récepteurs situés dans les muscles, les aponévroses, les tendons, les capsules et les logaments articulaires. Ces deux types de sensations ,d'ailleurs, seraient indissociables, les msucles contractés recevant leur injonction du cerveau, mais tirant des vicères et du milieu intérieur l'énergie nécessaire à cette contraction. Les partisans de la rétroaction biologique pensent qu'un apprentissage développe chez l'athlète la faculté de régler ses actions en fonction des signaux émis par l'organisme ("entrainement instinctif"). il pourait même influencer "mentalement" l'activité des muscles ou des viscéres par l'intermédiaire du système neurovégétatif ("visualisation"). Toutefois, comme aucun élément concret n'est encore venu confirmer qu'un tel contrôle ou que la perception des sensations internes est possible, il faut déterminer quelle place accorder à une telle hypothèse. Depuis toujours, les champions vantent les mérites de la "visualisation" et de "l'entrainement à l'instinct", qui résument l'observation générale. Il reste à savoir si la synthèse des expériences particulières suffit à l'emporter sur l'administration de la preuve. On doit, en tout cas, reconnaitre une forte valmeur heuristique à l'hypothèse de la rétroaction biologique. Elle se révèle particulièrement commode lorsqu'il s'agit d'expliquer l'efficacité apparente de la visualisation ou le resserrement de l'attention et l'amélioration de la performance sous l'effet de la colère. C'est pourquoi les considératins sur la théorie de l'attention interne-étroite se réfèrent implicitement au concept de rétroaction biologique.


L'attention interne-étroite de Nideffer

Pour comprendre le concept de l'attention interne-étroite, développé par NIDEFFER, il est sans doute nécessaire de redéfinir au préalable ce qu'on entend par "attention". L'attention est la capacité à fixer son esprit sur un objet quelconque. Elle suit deux axes, l'un horizontal, celui de la largeur de champ, et l'autre, vertical, qui est celui de la direction, externe ou interne.
-Le champs de conscience est dit "large" quand la conscience s'étend simultanément à beaucoup de choses. Il est dit "étroit" quand la conscience est focalisée sur un point particulier.
-L'attention est dite "externe" si elle est focalisée sur un objet extérieur. Elle est dite 'interne" dans le cas du calcul mental, d'une planification prévisionnelle ou du ressenti proprioceptif.
L'attention externe étroite est caractéristique des sportif à cible où l'objectif est clairmeent séparé du sportif et où le controle ne s'exerce que sur les détails fins des conditions de départ. Le tir olympique de précision est l'exemple par excellence de ce type d'attention. En force athlétique, au contraire, on emporte la charge avec soi. Le controle s'exerce en tout point de la trajectoire. Grace au "psynching-up", l'athléte resserre son attention sur la barre. Grace à la projection intérieur du mouvement idéal, le mouvement réel peut se régler sur un modèle engrammé dans les aires, préfrontale et pré-motrice, de la programmation et de la planification de l'action. l'objectif est alors de faire coïncider la représentation intérieur de la performance avec sa réalisation extérieur. D'où la prépondérance, parmi les powerlifters à succes, d'individus présentant une tendance naturelle à l'extraversion, capable de s'imposer une discipline d'organisation et de calcul, et de développer la faculté de resserrer leur attention à volonté.
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 22:01

La loi de Yerkes-Dodson

L'évolution des rapport entre performance et stimulation psychologique se présente sous la forme d'une courbe à optimum que les physiologistes YERKES et DORDSON ont identifiée comme "une courbe en U inversé". La performance augmente en effet à proportion que la motivation s'accroit, mais seulement jusqu'aun point où elle culmine avant de décliner. Cet optimum atteint, l'athlète se trouve dans l'état considéré comme le plus favorable à l'expression de la force maximale. mais, passé ce point, il faut, comme on dit, "décompresser". Si l'athlète s'entretien dans un état de tension, il entre bientot dans une phase d'épuisement, où le copr ne suit plus, l'exaspération nerveuse atteingant alor au paroxysme et provoquant toutes sortes de désordre fonctionnels. A ce moment, la coordination neuromusculaire se désorganise et la performance chute de maniére brutale.
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 22:39

Superbe article!!!!

Je pense vraiment que je suis un peu en dessous de ce que je pourrais faire en musculation à cause de l'aspect psychologique... Comme je l'expliquais dans un autre post, j'arrive au DC avec une barre de 100k, j'ai peur de lacher complétement au bout d'un moment, et du coup je bloque à 4 ou 5 reps.

D'autres exos, comme ceux pour les biceps par exemple, je me sens en confiance et je peux vraiment me surpasser!!!!

Il faudrait que je me mette des gifles avant d'attaquer ma séries pour être au sommet de "la courbe en U inversé" de Yerkes-Dodson!!!! sadomaso lol!
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TRIBUL
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeVen 8 Juil 2011 - 0:25

Citation :
Je pense vraiment que je suis un peu en dessous de ce que je pourrais faire en musculation à cause de l'aspect psychologique... Comme je l'expliquais dans un autre post, j'arrive au DC avec une barre de 100k, j'ai peur de lacher complétement au bout d'un moment, et du coup je bloque à 4 ou 5 reps.


je suis pareil que toi, surtout au DC ! alors qu'au SDT par exemple je pense allé au bout de mes capacités à chaque fois mais le DC j'ai peur .
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Sébastien
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Sébastien


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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitimeVen 8 Juil 2011 - 11:54

j'aime bien la loi de Yerkes-Dodson I love you

Pour la rétroaction, en plus de l'exemple qu j'ai mis un jour su rle forum (je ne le trouve plus) sur une amélioration du tour du biceps par mentalisation, plusieurs expérience tendent vers une faisabilité de la chose:
- avec un écran de contrôle, on peut rapidement (quelques heures) maitriser la température d'un bras
- toujours avec l'écran de controle (biofeedback), on peut choisr de générer des ondes alpha avec le cerveau (les yogi n'ont pas besoin d'écran^^)
- j'ai moi meme testé la chose lors de mon opération de la cheville=ligamentao-plasti (1 mois de platre, le kine m'a fait travaillé en iso le quadriceps et en mentalisation des mouvements de la cheville, chaque jour durant 1 heure). Plus de platre = pas besoin de rééducation pour marcher sans boiter (bon après il m'a fallu changer de pied d'appel et j'ai mis 3 mois pour courir avec des pointes sans raideurs).

pour Les experience d'Ikai et Steinhaus

Leur conclusion me gène. Je pense qu'il s'agit d'un effet du souffle (le cri ou le rale permet naturellement, s'en s'en rendre compte, de faire une expiration forcée et controlé=lente) permettant un petit plus par rapport à une expiration normale ou un blocage du souffle (valsalva) lors de la montée du squat par exemple.
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MessageSujet: Re: Psychologie de la performance de force   Psychologie de la performance de force Icon_minitime

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